Inauguration des locaux rénovés, rue Saint Denis à Paris

Bénédiction et petits fours… L’équipe, bénévole et salariée, de « Saint-Leu-Saint-Gilles » a soigné l’inauguration de ses nouveaux locaux, le 20 novembre, au 92 rue Saint Denis (Paris, 1er). L’occasion d’inviter et de remercier les salariés et les bénévoles, mais aussi les 53 donateurs qui ont participé à la campagne de dons en ligne sur le site Les Petites Pierres (Rénover l'accueil de jour des Captifs à Paris (1er arr) – Les Petites Pierres), qui avait permis de collecter les 20 000€ nécessaires au financement du chantier avant l’été. Pierre d’angle de l’antenne, la bénévole Solange a été également mise à l’honneur ce soir-là, pour sa 20e année de bénévolat au sein de l’association.

L’antenne Saint-Leu – Saint-Gilles des Captifs, située dans les locaux de la paroisse éponyme, ouverte depuis 39 ans, est l’un des 2 sites historiques de l’association. Elle accueille les 2 types de publics rencontrés et accompagnés par l’association : les personnes qui vivent dans la rue et les personnes qui se prostituent. Elle les accueille lors de temps de permanences, d’ateliers de dynamisation, de moments conviviaux. Pierre, qui vient régulièrement à l’antenne, en témoigne : « J’aime venir aux permanences d’accueil, je peux m’y relaxer hors du stress de la rue, en jouant à des jeux et rester avec mes amis. Je viens depuis presque 2 ans et moi qui n’ai plus qu’un seul frère je retrouve ici une deuxième famille avec laquelle j’aime passer du temps ».

Face à la vétusté des locaux, et afin de les mettre aux normes, l’association Aux captifs, la libération a donc mené des travaux courant 2023 grâce à l’appui de ses donateurs. Désormais les 2 équipes « précarité » et « prostitution » sont réunies et peuvent mener des entretiens avec les personnes accueillies dans de meilleures conditions. En effet, des cabines d’entretien isolées phoniquement ont été créés, pour offrir plus de confidentialité lors des échanges, et des rangements ont été installés pour sécuriser l’espace domiciliation. Un grand merci à tous ceux qui ont permis cette belle réalisation !

Retour en vidéo du séjour : un ballon pour l’insertion

12 personnes accueillies de l’Espace Marcel Olivier (EMO), Paris 9ème, accompagnées de bénévoles et de salariés, sont partis à Houlgate en Normandie pour vivre un séjour sportif avec l’association Un Ballon pour l’Insertion. Cette association propose aux personnes en situation de précarité un programme pour reprendre confiance en soi par le sport.

Nous sommes allés à la rencontre des Captifs – accueillis, bénévoles et salariés – pour qu’ils nous racontent de vive-voix cette coupure sportive. La responsable de l’EMO, Apolline, mais aussi des accueillis se sont prêtés au jeu de l’interview. Le sourire aux lèvres et les yeux pétillants, ils nous racontent comment ils ont vécu ce séjour et ce qu’il leur a apporté.

/

« La reine des petits riens »

Le magazine Panorama nous offre un portrait touchant de la routine extraordinaire de Nancy Krawczyk responsable de la douche et des machines à laver à l’antenne Saint-Vincent-de-Paul (Paris 10e). Nous découvrons à travers le récit et les photos de Romain Potocki le « royaume de Nancy » qui fait de cette « courte halte loin de la rue un moment d’intense humanité et de douce transfiguration ».

Après l’article dans Libération publié fin janvier sur la « dame des douches » le travail de Nancy continue à faire parler de lui. C’est au 10 rue de Rocroy qu’elle accueille ce « peuple de solitaires » qui trouvent près de Nancy un peu de réconfort. Ceux qui viennent, traversent la salle de permanence d’accueil pour retrouver Nancy qui accueille depuis 9 ans ceux qui vivent dans des conditions de vie difficiles. Les douches sont ouvertes à ceux qui sont suivis par un travailleur social ou aux personnes atteintes d’handicape.

Elle incarne une des valeurs cardinales de l’association : l’accueil inconditionnel. Nancy écoute sans juger et se transforme en témoin de la misère et de la violence. Elle accueille ceux qui viennent prendre une douche, lave leurs vêtements, en donne de nouveaux. Son organisation est minutieuse et Nancy se révèle comme une bricoleuse hors pair. Cette routine qui n’a rien d’ordinaire incarne l’héroïsme du quotidien et du service inconditionnel : « Alors je me sens démunie. Il me reste les petites choses ». Sous la plume de Romain Potocki on assiste à ces petits miracles rendus possibles par le simple accès à une douche et la présence lumineuse de Nancy.

Retrouvez l’intégralité de l’article ici : https://www.captifs.fr/wp-content/uploads/2023/10/Panorama_octobre2023_temoignageNancy.pdf

Table ronde annuelle au Collège des Bernardins : nous vous attendons !

Comme chaque année, les Captifs organisent une table ronde au Collège des Bernardins (20 rue de Poissy 75 005). Cette année, la soirée aura lieu le 13 novembre de 18h30 à 20h30 avec comme thème : « Prostitution, traite des êtres humains, du piège à la libération, quel chemin ? »

Nous aurons la joie de recevoir Sophie Lebrun de La Vie comme animatrice de la soirée. Elle sera entourée d’autres intervenants : Geneviève Colas, membre de la Commission Nationale Consultative des Droit de l’Homme, coordinatrice du Collectif « Ensemble contre la traite des êtres humains », Matthieu Villemot, co-directeur du département de recherche Éthique biomédicale du Collège des Bernardins, Yves Scelles, président de la Fondation Scelles et Gilles Badin, directeur du pôle Prostitution d’Aux captifs, la libération.

Cette soirée, sera l’occasion de faire un état des lieux de ce qu’est la prostitution aujourd’hui en France, de comprendre l’urgence de la situation et de réaliser l’impact que nous pouvons avoir sur la vie de ces personnes captives.

Si vous souhaitez réserver des places, adressez-vous à Clémence Noton : c.noton@captifs.fr ou par téléphone au 07 57 42 95 05.

Les réponses sont attendues avant le 6 novembre !

Renseignements pratiques :

Parking : Maubert – Collège des Bernardins

Métros : Cardinal Lemoine, Jussieu

Bus : 86, 87 et 47

Paul, jeune pro à la colocation solidaire de Valgiros, témoigne

Colocation Solidaire Valgiros de l'association Aux captifs, la libération pour ancien SDF.

Dans sa vie professionnelle, Paul de Braquilanges, 26 ans et diplômé de l’ESCP, est cadre dans le groupe d’agroalimentaire Savencia. Dans sa vie privée, il vit depuis septembre 2022 dans la colocation solidaire Valgiros, le centre d’hébergement et de stabilisation piloté par Aux captifs, la libération, situé dans le 15e arr. de Paris. Ce centre accueille plus de 20 personnes sorties de la rue  et 9 bénévoles, qui, à l’instar de Paul, ont choisi de vivre au quotidien cette aventure solidaire. Paul nous partage son expérience, et espère inspirer de nouveaux volontaires à suivre son exemple.

« Quand j’ai rejoint Valgiros, mon objectif n’était pas de délaisser certaines facettes de ma vie comme mes amis, mon travail ou même ma famille. Je voulais réussir à grandir dans tous ces aspects ainsi que dans ma relation avec les plus nécessiteux ». Néanmoins, Paul est loin de voir son action à Valgiros comme une vocation missionnaire. « Je ne suis pas Parisien et je voulais réellement m’installer dans une colocation à Paris avec pour objectif de vivre des moments du quotidien avec les résidents. Je pensais, et mon impression s’est confirmée, qu’il est difficile de se présenter avec la volonté de « sauver » les gens. C’est orgueilleux de penser cela et il faut plutôt se concentrer sur donner de la joie au sein de petits moments partagés. Nous ne sommes pas des travailleurs sociaux et les situations des personnes accueillies nous dépassent souvent ». Selon lui, rester soi-même au sein de la colocation et vivre pleinement chaque instant passé est le plus beau cadeau que l’on puisse faire à ses colocs. « Il ne faut pas s’exclure avec les exclus à mon avis. La vie pour un volontaire, ici, n’est pas une vie d’ermite ».

Aujourd’hui, Paul est fier d’avoir réussi à concilier toutes les parties de sa vie sans faire de concession et d’avoir même renforcé sa foi. « Valgiros est vraiment un lieu fertile pour la foi catholique et je pense qu’il m’a permis de la faire croître, et même de la faire rayonner, auprès des personnes avec qui je vis ». Paul a l’impression d’avoir trouvé tout ce qu’il cherchait dans cette aventure. « Valgi, ce sont des grands moments de partage et un vrai esprit de fraternité avec tout le monde. J’ai rencontré des gens extraordinaires, les volontaires avec moi sont devenus des amis que je vais garder longtemps et l’équipe sociale a toujours su être là pour nous écouter, nous pousser et maintenir une belle dynamique entre tous ».

Il ajoute : « C’est un projet tellement ambitieux qu’il y aura toujours des choses à améliorer bien sûr mais cette aventure est portée par des gens incroyables qui subliment beaucoup de moments. Il faut leur faire confiance ». Là-bas, Paul a pu vivre des instants de cohabitation, des repas cuisinés par lui ou par ses colocataires, des évènements comme récemment l’inauguration du jardin de la colocation en juin ou encore la visite du Puy du Fou en juillet. 

Si son temps à Valgiros est encore loin d’être révolu, celui-ci a déjà vécu une grande expérience qui lui servira toute sa vie. En adoptant une approche simple et humble, il a tissé des liens forts et a amené de la joie au jour le jour à des personnes qui s’étaient emmurées socialement et qui ne trouvaient plus de réconfort dans leur quotidien. En bref, il a le sentiment d’avoir « à son échelle apporté sa pierre à l’édifice ». Si vous aussi, vous voulez suivre l’exemple de Paul et que vous êtes prêt à connaître une aventure hors du commun tout en gardant votre travail, vos amis et votre famille, n’attendez plus ! Contactez l.decarrere@captifs.fr pour plus d’informations.

Devenez bénévole aux Captifs !

Témoignage de Soeur Stéphanie, bénévole au sein de l'association Aux captifs, la libération

Sœur Stéphanie est bénévole pour Aux captifs, la libération depuis septembre 2022, et salariée chargée de l’appel et de l’accueil des bénévoles depuis 2023. En cette rentrée, elle lance un appel pour renforcer l’équipe des 333 bénévoles déjà engagés à nos côtés.

« Quand je suis arrivée en tant que bénévole aux Captifs, j’ai découvert un univers qui m’a poussé à vouloir toujours plus m’impliquer et à me réapproprier des talents que j’avais enfouis ». Sœur Stéphanie s’est d’abord engagée comme bénévole avec l’association sur l’antenne de Sainte Rita (Paris, 9e) avant de venir mettre à profit ses compétences humaines et administratives en tant que salariée au siège (Paris, 11e).  Elle considère aujourd’hui son expérience chez les Captifs comme un véritable enrichissement personnel et invite toute personne motivée à rejoindre l’équipe des bénévoles. « Se confronter à un monde totalement différent du sien, avec au début peu de connaissances ou de formation, peut faire peur mais cela nous éloigne de notre zone de confort et nous permet véritablement de grandir ! ». Trouver la fraternité dans l’altérité n’est évidemment pas simple mais selon elle, ce sont souvent les personnes que nous rencontrons dans la rue qui nous aident sur ce chemin. « Je n’aime pas dire les « accueillis » car pour les nouveaux bénévoles, c’est souvent l’inverse qui se produit : ils sont accueillis par les personnes de la rue. Ce sont les personnes que nous rencontrons qui nous montrent la voie, ils nous donnent les codes pour se rapprocher d’eux et nous reçoivent dans leur univers. Vouloir s’imposer à eux peut être maladroit voire violent, ils veulent garder une liberté dans leurs choix, symbole de leur dignité humaine, il faut se laisser guider pour ne pas nier cette dernière ».

Sœur Stéphanie voit le bénévolat au sein d’Aux captifs, la libération comme une façon de reprendre le temps de s’écouter, d’échanger dans un monde toujours plus fragmenté et pressé. « Avec les personnes que l’on rencontre, on apprend à regoûter la valeur de l’instant présent. Chaque jour est pour eux un cadeau qui leur permet de vivre pleinement chaque moment qu’ils partagent ensuite avec les bénévoles. C’est pourquoi il y a un grand défi de stabilité chez ceux qui s’engagent avec nous (au moins 2 ans) ». Mais cette implication permet à chacun de vivre des expériences fortes qui les confortent dans leur initiative, comme ce fut le cas lors des « prières-rue » pour sœur Stéphanie, qui fréquente celles de l’antenne St Germain de Charonne (Paris, 20e). « Lors des intentions de prière, j’ai vraiment eu l’impression qu’ils m’aidaient à prier. C’était une communion vibrante des pauvres avec Dieu ». Elle souligne aussi la joie de rentrer dans la famille Captifs. « Chacun fait comme il le souhaite mais une fois le seuil franchi, il est difficile de ne pas se laisser transporter par la bienveillance de l’association. Il y a un véritable souci d’avancer entre bénévoles, salariés et accueillis et de vivre ensemble des formations, des temps de convivialité ou d’ambassade pour présenter nos projets ».

Sœur Stéphanie nous rappelle aussi que peu importe les capacités ou la formation, chacun est le bienvenu et peut jouer le rôle d’une oreille attentive aux histoires de vie des accueillis. C’est pourquoi nous avons toujours besoin de bénévoles alors n’hésitez pas à contacter rh@captifs.fr pour plus d’informations.

Lourdes, un temps fort de l’été pour les Captifs

L'association Aux captifs, la libération en séjour à Lourdes pour la Saint Laurent

Du 6 au 11 août 2023, un groupe de 23 « Captifs » (salariés, bénévoles, personnes accueillies par l’association) a participé au pèlerinage annuel de Lourdes, organisé par le réseau Saint Laurent. Ce réseau fédère différentes associations qui partagent un chemin de fraternité et de foi avec les plus pauvres, et cette année, il a réuni 1200 pèlerins dans le Sanctuaire Notre-Dame de Lourdes !

« Une expérience formidable ». Les « Captifs » qui ont participé au pèlerinage à Lourdes sont unanimes : la semaine passée, tous ensemble, restera gravée dans leur cœur. Loin de la rue et de la ville, chacun a pu vivre un beau moment de ressourcement, au cœur de la cité mariale et au pied des montagnes. Chaque année, depuis 4 ans, notre association Aux captifs, la libération propose à ceux qui le souhaitent de participer au pèlerinage à Lourdes, organisé par le réseau Saint Laurent. Cette année, 2 équipes ont répondu présentes : celle de l’Espace Marcel Olivier (EMO, Paris, 9e) et celle de Sainte Jeanne-de-Chantal (Paris, 16e). Au total, 23 personnes, accueillies par ces antennes, mais aussi salariées ou bénévoles sont parties de Paris.  « Des temps forts ont été vécus, raconte Apolline, responsable de l’EMO. Des moments en frat – en petits groupes – où les antennes étaient mélangées, pour lire et échanger sur les Evangiles. Mais aussi des moments en groupe, dont un temps de prière, intense en émotions, animé notamment par notre aumônier, le Père Olivier Segui à la chapelle de la Cité Saint-Pierre. Cette prière a été dédiée aux personnes connues des Captifs, et décédées cette année. S’en est suivie une procession chantante jusqu’au sanctuaire pour y déposer un cierge ». 

Deux autres temps forts ont marqué les participants : la grande messe le 10 août, en l’honneur de Saint Laurent… Mais aussi la randonnée du Béout. Cette randonnée, qui part de Lourdes et qui monte jusqu’en haut d’un pic où l’on peut admirer la ville de Lourdes, n’était pas simple du tout pour des personnes qui se déplacent très peu dans leur vie quotidienne. « Certains participants n’avaient pas marché depuis très longtemps, raconte une accompagnatrice. Mais ce sont eux qui ont insisté pour la faire, et ils étaient particulièrement fiers de l’avoir réussie ». Il parait que cette aventure a même donné envie à certains de revenir !

Témoignage de Lahouari à l’Assemblée nationale

L'association Aux captifs, la libération à l'Assemblée Nationale

Le  6 juillet 2023, Lahouari, un habitué de notre antenne Saint-Vincent-de-Paul (Paris, 10ème), a pris la parole à l’Assemblée nationale, devant des parlementaires et la secrétaire d’Etat chargée de l’Enfance Charlotte Caubel. Une prise de parole organisée par l’association Les Oubliés de la République*, qui a lui a permis de raconter son parcours de vie.

Les galères de la rue, la « crainte d’ouvrir les portes des centres d’accueil », mais aussi la rencontre bienveillante avec Antoine Payeur, le responsable de l’association Aux captifs, la libération dans le 10e arrondissement de Paris… En quelques minutes, Lahouari a planté le décor de sa vie, devant des parlementaires attentifs. Il a expliqué comment Antoine a su le comprendre et l’écouter malgré son attitude craintive vis-à-vis des associations.  En côtoyant Aux captifs, la libération, il constate avec surprise que l’équipe de l’association possède une vraie fibre sociale et que tous travaillent avec leur cœur. Ce contact sincère et généreux a touché Lahouari de plein fouet. « Ça m’a foudroyé ! »

Lahouri a toujours mis un point d’honneur à rester propre, à trouver des petits travaux et des petites missions pour vivre. La plupart des personnes avec lesquelles il travaille ne sont pas conscientes de sa situation. Il n’a pas non plus cette aigreur qu’on ressent souvent quand « on tombe dans la galère ». « Le plus souvent, lorsqu’on se retrouve dans cette situation, on en veut à tout le monde et on accuse telle ou telle personne de notre malheur. » A cette aigreur, Lahouari a décidé de dire NON !

Lahouari était heureux de prendre la parole et d’être en face de personnes qui l’écoutent. Il ajoute que « c’est de l’écoute que les gens peuvent offrir aux personnes de la rue, pas forcément un café ou de l’argent, mais une belle écoute. » Sans cette écoute, les personnes de la rue peuvent devenir agressives. « Cette petite attention rend digne et fier. »

* https://www.oubliesrepublique.fr/

Rétrospective en images :
https://vimeo.com/849203419

Vidéo sur une captivité méconnue : la prostitution

Vidéo reportage sur la prostitution. Aux captifs, la libération

Nous sommes heureux de vous faire découvrir un reportage immersif inédit réalisé par Néo – média social positif – auprès de Jean-Baptiste G., bénévole de l’antenne Lazare (Paris, 16e), dans le Bois de Boulogne. L’occasion de découvrir les coulisses d’une captivité méconnue, la prostitution, pleine de souffrance et de violence, où de nombreux réseaux de traite des êtres humains sont à l’œuvre.  Si sortir de la prostitution est un choix que toutes les personnes rencontrées n’expriment pas, vous verrez qu’elles trouvent néanmoins auprès d’Aux captifs, la libération un réconfort certain à travers des moments chaleureux.  En effet, chaque tournée – rue est l’occasion de leur offrir un café et une écoute bienveillante. Depuis 1981, Aux Captifs, la libération, accompagne les personnes victimes de la prostitution. Merci de partager cette vidéo à vos proches, pour nous aider à faire connaitre notre action.

Pour nous soutenir RDV ici 👉 https://bit.ly/3EseOBf