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Chaque année, notre association s’appuie sur ses partenaires financiers et opérationnels pour mener à bien ses actions. Face à la complexité des enjeux nous savons que nous ne pouvons pas agir seuls.

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Aux captifs, la libération
a besoin de vous !

Comment venir en aide à ces personnes que vous croisez au quotidien dans la rue ? En faisant un don aux Captifs, votre entreprise ou votre fondation participe à des projets concrets à leur attention : rencontre dans la rue, accueil sur nos antennes, accompagnement social, prise en compte des addictions, solutions d’hébergement…

Des projets menés près de chez vous, qui répondent aux enjeux de la directive CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) et à vos enjeux de responsabilité sociétale. Des projets sur lesquels vous pouvez, pourquoi pas, impliquer vos collaborateurs. Nous pouvons également venir témoigner auprès d’eux pour faire changer le regard sur les personnes qui vivent dans la rue ou qui vivent de la prostitution.

Et n’oubliez pas la fiscalité attractive du mécénat : un don de 1000€ vous revient à 400€ après la réduction fiscale (60% du montant du don déduit de l’IS).

Ils soutiennent nos projets :

Pourquoi nouer un partenariat avec notre association ?

En tant que partenaire financier de l’association, vous pouvez choisir de soutenir un projet qui vous tient particuliérement à coeur (les lieux d’accueil, les séjours de dynamisation, le programme de réductions des risques liés à l’alcool, les Parcours de Sortie de Prostitution, le développement des Captifs dans votre région…) ou nous laisser le soin d’affecter votre don au projet qui en a le plus besoin.

Dans tous les cas, vous recevrez un rapport d’activité et vous pourrez, dans la mesure du possible, vous rendre sur le terrain pour rencontrer nos équipes salariées et bénévoles.

Notre mission consiste à être présents et fidèles auprès des personnes de la rue. Votre mission sera d’être à nos côtés pour nous aider à y parvenir. Par avance, un grand merci !

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Vous êtes une association, un établissement public, un acteur du social… Vous souhaitez vous rapprocher d’une association experte sur la question de la grande précarité, de la prostitution, de l’addiction en rue, pour nouer un partenariat de terrain efficace ?
Prenez contact avec Aux captifs, la libération.

Nous travaillons avec eux :

Le rôle et la mission de nos partenaires opérationnels

Nos partenaires opérationnels sont des alliés, car leur action complète souvent la notre : bagagerie, vestiaire, alimentation, hébergement, soins infirmiers, insertion professionnelle, art thérapie…

Une palette de solutions qui permettent à nos travailleurs sociaux de répondre au mieux aux attentes de chaque personne accueillie.

FAQ

Pourquoi travailler avec Aux captifs, la libération ?

Chaque jour, nous relevons le défi de la libération des captifs de la rue et de la prostitution, c’est-à-dire du recouvrement plein et entier de leur dignité par les personnes sans-abri et des personnes en prostitution. Le défi est de croire que l’impossible est possible quand bien même ces personnes, qu’elles soient sans-abri ou en prostitution, sont emprisonnées dans des situations complexes sur les plans personnel, familial, sanitaire, psychologique, psychiatrique, social, juridique, auxquels il faut ajouter les situations de violence et d’emprise physique, psychologique et spirituelle pour les secondes.

Depuis 1981, nous allons vers les plus rejetés par des rencontres en rue, les recevons en permanences d’accueil, vivons avec eux des activités et séjours de dynamisation, les accompagnons sur le plan social en partenariat avec l’ensemble du secteur social et sanitaire.

Si nous exerçons des missions qui peuvent paraître comparables à celles d’autres associations, nous mettons au cœur de notre accompagnement la rencontre personnelle et le dialogue autour des questions essentielles de la vie, tout en respectant les croyances de chacun : à quoi sert ma vie ? quelle est ma place ? est-ce que je peux être aimé et regardé comme femme, comme homme ? qu’est-ce qu’il y a « après » la mort ? Toutes ces questions, parmi d’autres, sont des questions spirituelles que chacun se pose et qui prennent une acuité forte pour les personnes les plus rejetées. Notre conviction est qu’aider les personnes à trouver leurs réponses à ces questions est un levier essentiel pour reprendre place avec dignité dans la société.

Depuis 1990, nous coopérons avec les pouvoirs publics (notamment Etat et Mairie de Paris) :
• Ils financent notre budget à hauteur de 45% au titre de nos missions d’intérêt général, et de notre participation active au bon déploiement des politiques publiques d’insertion sociale, de santé publique, de lutte contre la Traite des Êtres Humains et des violences faites aux femmes.
• Nous avons plusieurs agréments publics : domiciliation, parcours de sortie de prostitution, organisme d’accueil communautaire et d’activité solidaire.
• Nous avons signé le contrat d’engagement républicain prévu par la loi n° 2021-1109 du 24 août 2021 confortant le respect des principes de la République et visant à lutter contre le séparatisme, les atteintes à la citoyenneté, les dérives sectaires et islamistes.

Cependant, lorsque nous sollicitons des soutiens auprès de financeurs, certains hésitent à étudier notre dossier ou l’écartent au motif de notre confessionalité catholique. Si nous affichons que notre ancrage dans l’Evangile est à la source de notre projet et le moteur d’engagement pour beaucoup de nos bénévoles et de nos salariés, il est clair que nous accompagnons toute personne que nous rencontrons, sans prosélytisme, en respectant sa liberté de conscience et de religion. De nombreux bénévoles et salariés non chrétiens de l’association se reconnaissent d’ailleurs dans ce projet et ces valeurs.

Les pouvoirs publics ont choisi de financer et d’agrémenter différentes associations, confessionnelles ou non, et contribuent ainsi à élargir et enrichir les propositions faites aux personnes fragiles. De même, soutenir Aux captifs, la libération, avec la tonalité qui lui est propre, peut rejoindre les préoccupations humanistes d’un financeur et répondre aux attentes de certains de ses salariés.

Accompagner Aux captifs, la libération par un financement ou un mécénat de compétences, c’est croire que l’impossible est possible pour les plus rejetés de notre société par une action originale et éthique qui allie la compétence (basée sur les référentiels métiers du travail social et médical, notamment) et la valorisation respectueuse à l’humanité de chacun (demande d’être regardé comme personne, dans toutes ses dimensions de sa vie y compris dans ses questions existentielles…).

L’article 2 de vos statuts précise que vous menez vos actions dans un « esprit à orientation chrétienne » . Est-ce que vous limitez vos actions à un public chrétien ?

Non. Nous rencontrons, accueillons et accompagnons toute personne dans une démarche inconditionnelle quelle que soit son appartenance religieuse ou son absence de religion.

Être chrétien, c’est reconnaitre en chacun, quel qu’il soit, quelle que soit sa foi, une personne à rencontrer et à aimer.

Puisque vous êtes explicitement catholique, ne craignez-vous pas de rentrer dans des dérives sectaires ?

Les Captifs ont signé le contrat d’engagement républication, défini par la La loi n° 2021-1109 du 24 août 2021. Cette loi conforte le respect des principes de la République et vise à lutter contre le séparatisme, les atteintes à la citoyenneté, les dérives sectaires et islamistes. Elle a notamment mis en place le contrat d’engagement républicain à destination des associations et des fondations.

Par ce contrat, signé par Aux captifs, la libération, l’association s’engage à respecter 7 engagements :

1. Respect des lois de la République
2. Liberté de conscience
3. Liberté des membres de l’association
4. Égalité et non-discrimination
5. Fraternité et prévention de la violence
6. Respect de la dignité de la personne humaine
7. Respect des symboles de la République

L’association s’engage également à informer ses membres du contenu du contrat, par tout moyen. Nos permanences sont ouvertes à toutes et tous, sans discrimination aucune. Leurs lieux, heures, conditions de déroulement sont connus de l’ensemble de notre environnement y compris de nos partenaires externes publics et associatifs.

Aux captifs, la libération se définissant comme une association catholique de solidarité d’intérêt général, comment pouvez-vous recevoir des fonds publics ?

La loi n° 2021-1109 du 24 août 2021 confortant le respect des principes de la République, citée précédemment, conditionne aussi l’attribution de subventions et donne à l’administration fiscale davantage de leviers pour s’assurer que seules les associations qui remplissent certaines conditions, puissent bénéficier de la générosité du public et délivrer des reçus fiscaux.
Les pouvoirs publics (Etat : DRIHL , DRDFE , DGS , ARS , MILDECA , DIHAL , Agence du Service Civique; Ville : DASES , MMPCR* ) collaborent avec nous et nous soutiennent car ils considèrent que, par notre action, nous exerçons une mission d’intérêt général, en respectant le contrat républicain évoqué ci-dessus, et participons activement au bon déploiement de politiques publiques d’insertion sociale, de santé publique, de lutte contre la Traite des Êtres Humains et des violences faites aux femmes.

L’association bénéficie, pour cela, de plusieurs agréments publics : Domiciliation, Parcours de Sortie de Prostitution, Service Civique, Organisme d’Accueil Communautaire et d’Activités Solidaires. Notre pratique s’insère dans l’ensemble des dispositifs (logement (SIAO à Paris), santé, droit du séjour, emploi…) publics. Nous ne sommes pas un « établissement hors contrat » de la solidarité.
* Direction Régionale Interdépartementale de l’Hébergement du Logement / Direction Régionale aux Droits des Femmes et à l’Egalité / Direction Générale de la Santé / Agence Régionale de Santé / Mission Interministérielle de Lutte contre les Drogues et les Conduites Addictives / Délégation Interministérielle à l’Hébergement et à l’Accès au Logement / Direction de l’Action Sociale de l’Enfance et de la Santé / Mission Métropolitaine de Prévention des Conduites à Risques

Êtes-vous prosélytes ? Cherchez-vous à convertir des personnes d’autres religions ?

En aucun cas nous ne rencontrons les personnes dans une approche prosélyte, ni ne conditionnons en quoi que ce soit la relation et l’accompagnement à la religion de la personne. Si celle-ci exprime une demande spirituelle ou religieuse, nous veillons à y répondre dans le respect de la conscience de chacun, et en tenant compte de sa croyance exprimée. Le respect des croyances d’autrui est un élément essentiel de notre démarche.

Les pratiquants d’autres religions représentent une part significative des personnes accueillies. Les échanges avec tous, non-croyants, croyants quelle que soit leur foi, sont souvent source d’une grande richesse qui les renforce dans la conviction que la société, à travers Les Captifs, les reconnaît en tant que personnes. Lors des permanences d’accueil et des séjours que nous organisons, nous veillons à ce qu’ils puissent vivre selon leur religion (repas, temps de prière, …)

Recevant des fonds publics, ne devez-vous pas afficher une neutralité sur le sujet de la foi ?

Si nous sommes reconnus comme acteurs privés de l’intérêt général, nous ne sommes pas agents du service public, nous n’avons pas de délégation de mission de service public, et donc nous ne sommes pas soumis à l’obligation de neutralité des agents du service public.

Nous pouvons légalement faire état de nos convictions religieuses catholiques, pourvu que nous ne les imposions à aucun accueilli ni n’effectuions de discriminations (cf. charte des droits et libertés de la personne accueillie (art. L311-4 du CASF), adoptée par l’arrêté du 8 septembre 2003, article 1 prohibant toute discrimination).

Nous pouvons aussi proposer des activités religieuses, sans portée obligatoire, et devons, en parallèle, rendre possible l’accès à la pratique des autres religions à tous ceux qui le souhaitent (cf. charte des droits et libertés de la personne accueillie, article 11 explicitant un droit à la pratique religieuse).

Comment s’assurer que les dons ou mécénats versés ne financent pas l’Eglise Catholique en général ?

Chaque financement public ou privé reçu est affecté au projet convenu par une convention signée par le financeur et Les Captifs. Notre comptabilité permet de suivre l’affectation effective de l’argent au bon projet.

La gestion financière des Captifs est soumise aux normes d’audit en vigueur au sein des associations loi 1901 relevant de l’intérêt général ; en particulier, nos comptes dans leur ensemble, ainsi que les comptes dédiés des projets financés par tel ou tel mécène, font l’objet d’un audit par KPMG, notre commissaire aux comptes.

Il s’assure notamment que nous respectons les règles de financement applicable aux associations, y compris la transparence à l’égard de nos donateurs et le respect des engagements en matière d’utilisation des fonds. Quand le financeur le souhaite, notre commissaire aux comptes exerce un contrôle spécifique sur son projet et rédige un rapport en conséquence.

Les seuls versements effectués à l’Eglise Catholique ou à des associations qui en émanent correspondent à des prestations étayées par des contrats. Les locaux d’accueil de jour mis à disposition par les paroisses le sont gratuitement, avec une participation aux charges locatives.

C’est moins compliqué vis-à-vis de mes salariés, actionnaires, clients, parfois croyants d’autres religions, ou athées, de soutenir une association non confessionnelle. Pourquoi Les Captifs ?

Si nous exerçons des missions qui peuvent paraître comparables à celles d’autres associations de solidarité auprès des personnes exclues, nous mettons au cœur de notre accompagnement la rencontre personnelle et le dialogue autour des questions existentielles, tout en respectant les croyances de chacun : à quoi sert ma vie ? quelle est ma place ? est-ce que je peux être aimé et regardé comme homme ? qu’est-ce qu’il y a « après » la mort ?

Toutes ces questions, parmi d’autres, sont des questions spirituelles que chacun se pose et qui prennent une acuité forte pour les personnes exclues. Notre conviction est que le travail d’accompagnement après de ces personnes n’est ajusté, durable et fructueux que lorsque nous nous préoccupons aussi d’aider les personnes à trouver leurs réponses à ces questions.

Vous organisez des « prières-rue » de quoi s’agit-il ?

Animée par les bénévoles et salariés, sur la base d’une participation exclusivement volontaire et non conditionnelle des personnes accueillies, la prière rue se déroule dans l’église ; elle est l’occasion pour les personnes accueillies, quelles que soient leurs croyances, de pouvoir accéder à une spiritualité, d’approfondir une réflexion et d’échanger avec le prêtre s’ils le souhaitent.

Il convient de souligner que ces prières-rue :
– n’occasionnent aucun coût pour l’association et ses financeurs : elles se déroulent dans l’église mise à disposition gratuitement, sont animées par des bénévoles, la participation éventuelle des salariés est volontaire et sur leur temps de pause. De ce fait, elles se déroulent hors périodes d’ouverture du lieu d’accueil concerné et ne privent en rien les personnes accueillies dans les locaux de l’attention de l’équipe salariée ;
– sont ouvertes à toutes les personnes quelle que soit leur religion, et que des personnes non catholiques y sont effectivement souvent présentes, et participent d’une manière totalement libre ;
– sont issues du constat que les personnes vivant en rue sont souvent privées (à cause de la difficulté d’être acceptés dans une communauté, d’échanger sur des thèmes philosophiques ou religieux dans des conditions adaptées à leur situation…), de la possibilité de vivre une spiritualité partagée quelle qu’en soit la nature (philosophie, religion, etc), alors même que la vie en rue intensifie les questionnements des personnes sur le sens de leur existence; la spiritualité (qui n’est pas la religion) aide les personnes dans leur cheminement ;

– n’ont aucune vocation prosélyte, et ne sont en aucun cas conditionnelles. Par exemple, lorsque la prière-rue est suivi d’un repas, ce dernier se tient dans les locaux de l’antenne et accueille toutes les personnes désireuses d’y participer, qu’elles aient ou non assisté à la prière. Plus généralement, en aucun cas la religion de la personne, ni sa participation à une prière-rue, ne modifient en quoi que ce soit l’attention qui lui est accordée dans l’accueil et l’accompagnement.

Elles sont conformes aux règles applicables en matière de laïcité (cf. charte des droits et libertés de la personne accueillie (art. L311-4 du CASF), adoptée par l’arrêté du 8 septembre 2003, article 1 prohibant toute discrimination), qui ne font pas obstacle à l’aménagement de temps spirituels ou de propositions religieuses, et notamment au contrat d’engagement républicain, dont l’association est signataire et qui est dûment affiché dans l’ensemble de ses locaux

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Nicolas Riou Chargé des partenariats privés
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Syméon Campion Chargé des partenariats privés